Ensembles paroissiaux
de
CALVISSON  &  SOMMIÈRES
 

Célébrer le sacrement de la Réconciliation dans nos paroisses.


 

Durant l'année

Des permanences sont assurées toutes les semaines :
 

Le mercredi de 17 h 30 à 18 h 30 à l’église de Calvisson
Le samedi de 9 h 30 à 10 h 30 à l’église de Sommières.


"Laissez-vous réconcilier avec le Christ !"


Des célébrations pénitentielles avec absolution individuelle sont prévues
avant la fête de Noël
avant la fête de Pâques
A ces occasions, plusieurs prêtres sont à votre disposition.
 
D’autres permanences sont prévues avant les grandes fêtes.
 
Les dates, les horaires et les lieux sont précisés à l’avance dans le bulletin paroissial.
 
Il est toujours possible de prendre rendez-vous avec un prêtre.



 
Aide pour faire son examen de conscience en vérité et avec humilité
Examen de conscience à partir de l’Exhortation apostolique
EVANGELII GAUDIUM   du Pape François.
Encouragements du pape François
Conseils sur la Sainte Confession de Saint François de Sales
Petit guide pour la confession
Préparer sa confession avec le Curé d'Ars







 

La pédagogie et les encouragements  DE L'ÉGLISE

(Extraits du Catéchisme de l’Eglise Catholique)


 

D’après le commandement de l’Église, " tout fidèle parvenu à l’âge de la discrétion doit confesser, au moins une fois par an, les péchés graves dont il a conscience " (CIC, can. 989 ; cf. DS 1683, DS 1708). Celui qui a conscience d’avoir commis un péché mortel ne doit pas recevoir la Sainte communion, même s’il éprouve une grande contrition, sans avoir préalablement reçu l’absolution sacramentelle (cf. Cc. Trente : DS 1647 ; 1661), à moins qu’il n’ait un motif grave pour communier et qu’il ne lui soit possible d’accéder à un confesseur (cf. CIC, can. 916 ; CCEO, can. 711). Les enfants doivent accéder au sacrement de la Pénitence avant de recevoir pour la première fois la Sainte communion (cf. CIC, can. 914).

Catéchisme de l’Eglise Catholique n° 1457

 
Sans être strictement nécessaire, la confession des fautes quotidiennes (péchés véniels) est néanmoins vivement recommandée par l’Église (cf. Cc. Trente : DS 1680 ; CIC, can. 988, § 2 ). En effet, la confession régulière de nos péchés véniels nous aide à former notre conscience, à lutter contre nos penchants mauvais, à nous laisser guérir par le Christ, à progresser dans la vie de l’Esprit. En recevant plus fréquemment, par ce sacrement, le don de la miséricorde du Père, nous sommes poussés à être miséricordieux comme Lui (cf. Lc 6, 36) :
Celui qui confesse ses péchés agit déjà avec Dieu. Dieu accuse tes péchés ; si tu les accuses toi aussi, tu te joins à Dieu. L’homme et le pécheur sont pour ainsi dire deux réalités : quand tu entends parler de l’homme, c’est Dieu qui l’a fait ; quand tu entends parler du pécheur, c’est l’homme lui-même qui l’a fait. Détruis ce que tu as fait pour que Dieu sauve ce qu’il a fait (...). Quand tu commences à détester ce que tu as fait, c’est alors que tes œuvres bonnes commencent parce que tu accuses tes œuvres mauvaises. Le commencement des œuvres bonnes, c’est la confession des œuvres mauvaises. Tu fais la vérité et tu viens à la Lumière (S. Augustin, ev. Jo. 12, 13).

Catéchisme de l’Eglise Catholique n° 1458

 
Celui qui veut obtenir la réconciliation avec Dieu et avec l’Église, doit confesser au prêtre tous les péchés graves qu’il n’a pas encore confessé et dont il se souvient après avoir examiné soigneusement sa conscience. Sans être en soi nécessaire, la confession des fautes vénielles est néanmoins vivement recommandée par l’Église.

Catéchisme de l’Eglise Catholique n° 1493

 
Pour répondre à cette invitation, nous devons nous préparer à ce moment si grand et si saint. S. Paul exhorte à un examen de conscience : " Quiconque mange ce pain ou boit cette coupe du Seigneur indignement aura à répondre du Corps et du Sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-même et qu’il mange alors de ce pain et boive de cette coupe ; car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s’il n’y discerne le Corps " (1 Co 11, 27-29). Celui qui est conscient d’un péché grave doit recevoir le sacrement de la Réconciliation avant d’accéder à la communion.

Catéchisme de l’Eglise Catholique n° 1385

 
Le deuxième commandement (" Tout fidèle est tenu par l’obligation de confesser ses péchés au moins une fois par an ") assure la préparation à l’Eucharistie par la réception du sacrement de la Réconciliation, qui continue l’œuvre de conversion et de pardon du Baptême (cf. CIC, can. 989 ; CCEO, can. 719).
Le troisième commandement ( " Tout fidèle est tenu par l’obligation de recevoir la Sainte Communion au moins chaque année à Pâques ") garantit un minimum dans la réception du Corps et du Sang du Seigneur en liaison avec les fêtes Pascales, origine et centre de la liturgie chrétienne (cf. CIC, can. 920 ; CCEO, can. 708 ; 881, § 3).

Catéchisme de l’Eglise Catholique n° 2042


 


 


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